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dimanche 15 août 2010

FRAUDES des Dirigeants Britanniques sur l'Humanité. Hold up britannique international

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« L’arme la plus puissante dans les mains des oppresseurs, est la mentalité des opprimés ! »

Stephen Bantu Biko

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INTRO

La Déclaration des Droits & Libertés est un viol aux Droits des Collectivités. Il s’agit plutôt du droit à l’égoïsme, à l’individualisme et l’exploitation sans fin des uns sur les autres !

Le droit à la propriété a sa source dans le pillage, le vol et le viol, et la guerre…… De quels droits et en vertu de quelles autorités possédez-vous plus que d’autres ? Vous qui prétendez avoir travaillé plus fort , plus efficacement, plus fructueusement et mieux que les autres !

Les Droits suivants vous sembleront venant du gros bon sens, pourtant on ne les retrouve à nulle part dans les centaines de Déclarations des Droits & Libertés qui ont été créées jusqu’à présent - - - > On s’est toujours fait avoir par les juristes militaires ! Réclamez-les ! Tous les Droits et Principes découlent des Droits Naturels ! Les Lois consolident et concrétisent les Droits !

L’Économie, la Politique, le Droit…. sont pour soumettre la plus grande somme de bonheur possible !

Nous péchons faute de savoir nous unir, réfléchir/critiquer/proposer/s’impliquer ensemble dans le souci que tous aient une vie décente et de qualité!

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«C’est le peuple qui a le pouvoir et il ne le sait pas».
C’est ensemble qu’il nous importe d’établir quelles doivent être nos valeurs sociales, familiales, humaines et environnementales à prioriser dans cette région à repenser. «C’est le peuple qui a le pouvoir et il ne le sait pas».

L’État , les Droits, les Lois, la Constitution : tous émanent de nous tous !

Pour que l'Europe régule ses multinationales

La moitié du stock mondial d’argent transite par les paradis fiscaux aux Îles Britanniques

La seule fraude fiscale des multinationales coûterait chaque année 125 milliards

L'histoire des paradis fiscaux est parallèle à celle de la fiscalité. Ainsi, 2 000 ans avant J.-C., les premiers commerçants grecs envoyaient déjà des émissaires dans certains ports afin que vendeurs et acheteurs, lors d'une transaction, se retrouvent à un point convenu pour transborder la marchandise et échapper ainsi aux taxes portuaires déjà existantes (on parlerait aujourd'hui d'opérations offshore). Mais c'est durant les années 1930 et surtout pendant les Trente Glorieuses que les paradis fiscaux vont prendre leur véritable essor. Depuis le début des années 1980, le mouvement ne s’est pas ralenti. Le rapport de l’OCDE d’avril 1998 précise ainsi que « l’investissement direct étranger des pays du G7 dans un certain nombre de pays des Caraïbes et d’États insulaires d’Asie généralement considérés comme des pays à fiscalité peu élevée, a plus que quintuplé entre 1985 et 1994 pour s’établir à quelques 200 milliards de dollars, ce qui représente un accroissement bien supérieur à la croissance de l’encours actuel de l’investissement direct étranger ».

Au premier trimestre 2004, le ministère du Commerce chinois s’inquiétait que 20 % des investissements directs étrangers en Chine provenaient des îles Vierges, des îles Caïmans et des Samoa. De manière globale, en 1997, le montant des actifs gérés par 65 paradis fiscaux s’élèverait à la somme de 4 497 milliards d’euros, selon les journalistes du journal L'Expansion. 3 ans plus tard, le quotidien français Libération publiait une enquête évaluant l’ensemble des fonds placés dans les paradis fiscaux à près de 6 000 milliards d’euros, avec une hausse de 12 % par an.

150 000 sociétés off-shores se créent chaque année. S’attaquer au secret bancaire des paradis fiscaux est une première étape, mais la transparence est à double sens.

« Les paradis fiscaux se contentent de fournir un minimum de gages pour ne pas figurer sur la prochaine « liste noire » de l’OCDE. Mais il ne s’agit pas d’un renoncement total au secret bancaire. Avec les standards des conventions fiscales « à la demande » de l’OCDE, le secret bancaire ne peut être en effet levé qu’après avoir prouvé la fraude fiscale. De fait, la nature des paradis fiscaux (comptes anonymes, trust…) empêche toute transparence. Les murs d’opacité entourant les paradis fiscaux se fissurent, mais le secret bancaire tient encore bon ! Les pays du G20 doivent s’engouffrer dans cette brèche pour en finir avec le secret bancaire, l’absence de coopération judiciaire ou encore la multiplication des sociétés écrans. » affirme Maylis Labusquière d’Oxfam France.

Les multinationales minières canadiennes en arrière de Laurent Nkundabatware dans la guerre qui ensanglante l’Est du Congo.

Selon les mêmes sources, la guerre actuelle au Nord-Kivu est l’aboutissement de la visite que le criminel Paul Kagame avait effectué au Canada en avril 2006 où il avait signé des engagements avec des multinationales canadiennes. Cela faisait partie de son plan de relancer la guerre pour permettre aux multinationales canadiennes d’avoir des contrats plus lucratifs en République démocratique du Congo.

« La visite de Paul Kagame répond vraisemblablement à un besoin des multinationales de re-financer l'option militaire pour continuer à piller l'Afrique. C'est la RDC qui sera vendue à gage. Ce qui est déterminant c'est au niveau où Kagame rencontrera l'exécutif des multinationales canadiennes. La politique canadienne pour soutenir ce criminel dans la continuité du dépeuplement de la population africaine est simplement une honte.[…]

Le gouvernement conservateur d’Ottawa, pour camoufler son appui envers le criminel a choisi d’inviter Kagame à Montréal, loin de la capitale pour donner l’impression qu’il s’agit simplement d’une visite d’affaires ». Pour lire le communiqué dans son intégralité cliquez sur le lien suivant : (http://www. congovision. com/nouvelles/ glac2.html) .

Les multinationales minières canadiennes en arrière de Laurent Nkundabatware dans la guerre qui ensanglante l’Est du Congo.

Selon les mêmes sources, la guerre actuelle au Nord-Kivu est l’aboutissement de la visite que le criminel Paul Kagame avait effectué au Canada en avril 2006 où il avait signé des engagements avec des multinationales canadiennes. Cela faisait partie de son plan de relancer la guerre pour permettre aux multinationales canadiennes d’avoir des contrats plus lucratifs en République démocratique du Congo.

« La visite de Paul Kagame répond vraisemblablement à un besoin des multinationales de re-financer l'option militaire pour continuer à piller l'Afrique. C'est la RDC qui sera vendue à gage. Ce qui est déterminant c'est au niveau où Kagame rencontrera l'exécutif des multinationales canadiennes. La politique canadienne pour soutenir ce criminel dans la continuité du dépeuplement de la population africaine est simplement une honte.[…]

Le gouvernement conservateur d’Ottawa, pour camoufler son appui envers le criminel a choisi d’inviter Kagame à Montréal, loin de la capitale pour donner l’impression qu’il s’agit simplement d’une visite d’affaires ». Pour lire le communiqué dans son intégralité cliquez sur le lien suivant : (http://www. congovision. com/nouvelles/ glac2.html) .



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